Le cinquième film de James Gray, inspiré, a-t-il dit, par des photographies prises dans les années 20 par son grand-père est un grand mélodrame à la splendide photo sépia.
Baigné de musiques d’opéra, ponctué de scènes étonnantes, ainsi celle où l’on voit Caruso (anecdote authentique) chanter pour les nouveaux arrivants, c’est un grand mélodrame à la splendide photo sépia (de Darius Khondji). La couleur d’un passé revisité par ce petit-fils d’émigrants ukrainiens qui, à 24 ans, donnait avec Little Odessa un premier film fulgurant. Voici l’immigrante que l’on ne quittera pas, jeune femme de mauvaise vi…
Powered by WPeMatico
This Post Has 0 Comments