Quand l’hystérie électoraliste gagne les politiques

Roms, immigration, violence … quand les acteurs de la vie politique dérapent à des fins électorales.

Quand l’hystérie électoraliste gagne les politiques

Les propos brutaux et outranciers ne sont pas nouveaux en politique. Mais alors qu’ils étaient cantonnés à un parti politique comme le FN il y a quinze ans, aujourd’hui ils semblent s’étendre à tous les partis. Les phrases proclamées pour soulever l’émoi ou coïncider avec ce que les élus politiques perçoivent comme une attente populaire pullulent.

C’est Régis Cauche, maire UMP de Croix dans le Nord, légitimant la violence quand il déclare : « Si un Croisien commet l’irréparable, je le soutiendrai ».  Ou encore le député-maire de Nice Christian Estrosi invité du « Grand rendez-vous »Europe 1- I-télé- Le Parisien,  lorsqu’il appelle « les maires de France à la révolte » concernant les installations illégales des gens du voyage.

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