Jabeur Mejri, jeune Tunisien d’un village de pêcheurs, près de Mahdia, a été arrêté le 5 mars 2012 après avoir publié des caricatures de Mahomet sur Facebook. Condamné à 7 ans et demi de prison, sa grâce, promise à la famille cet été par le président Moncef Marzouki, n’a pas été accordée. Le sort de ce prisonnier d’opinion, adopté par Amnesty International, rappelle ainsi que la liberté d’expression et de conscience reste bafouée dans la Tunisie post-révolutionnaire, sous le gouvernement islamiste.
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