C’est la curiosité de cette rentrée littéraire. Un roman de plus de 1 000 pages, « Naissance », où l’irritant et talentueux Yann Moix imagine les huit premiers mois de sa vie. Rencontre.
S’il avait pu, d’ailleurs, il l’aurait écrit d’un trait, en une seule phrase, sans point, sans virgule. En attendant, dans le salon de son appartement, à deux pas de la porte de Clignancourt, Yann Moix débite, comme il écrit, dans un flot continuel, une parole «qui compte plus que le style». Pour «dire» les premières heures et les premiers jours – car oui, le point de départ de Naissance est tou…
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