Leur musique à eux est plutôt du genre exutoire, proche du spoken word, cette façon de chanter sans le faire à la façon d’un Arnaud Fleurent Didier. La rage en prime, le débit saccadé en accéléré en plus. Il faut le savoir, oui, ces jeunes garçons qui avancent masqués, leur interprète en tête, s’agrippent à la gorge de celui qui s’aventure à les écouter.
Présentés comme les chanteurs d’une génération – simplement parce qu’ils ont 27 ans -, ils enflamment pourtant les peaux, ici, d’un parterre d’ados en concert, là, de quadras qui ont passé l’âge de s’identifier.
Eux n’ont peur de rien : ni de la mort, ni du désamour, ni de l…
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