Aubervilliers, après le « miracle chinois »

Pionnière dans les relations commerciales avec la Chine, la ville de Seine-Saint-Denis ne voyait au départ que des avantages à tisser des « tisser des liens gagnant-gagnant » avec l’empire du Milieu. Oui, mais…

Aubervilliers, après le « miracle chinois »
Tout commence comme une belle histoire citoyenne. Dans un film institutionnel sur les relations franco-chinoises, le maire d’Aubervilliers, Jacques Salvator, visite la Chine à la tête d’une délégation locale. Objectif, « tisser des liens gagnant-gagnant » – expression dont les autorités chinoises usent et abusent – entre citoyens, collectivités locales et entreprises chinoises. Derrière le bla-bla convenu sur l’amitié entre les peuples, un discours plus pragmatique :

Antoine Fayet, par exemple, membre de la délégation et directeur général d’Icade, société immobilière d’Aubervilliers et filiale de la Caisse des dépôts, explique que la Chine n’est pas une menace pour notre économie mais bientôt le « plus grand marché d…

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