Mais non, on est chez Ozon, jamais complaisant, jamais trivial, offrant toujours aux actrices un espace de jeu valorisant. C’est donc avec une étrange et permanente élégance, rythmée par la mélancolie intemporelle de quatre chansons de Françoise Hardy, qu’il raconte quatre saisons dans la jeune vie de la jolie Isabelle, (Léa pour ses « clients »), à qui Marine Vacth, bourgeon de femme trop tôt épanoui, donne une présence à la fois désarmée et impérieuse.
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