Les écrivains ne s'allongent que sur des pages blanches

Pour eux, la saison des vacances est souvent celle du travail le plus intensif. Comment vivent-ils ce décalage avec les autres, cette nécessité de se plier à une discipline au lieu d’aller à la plage ? Sept d’entre eux se sont confiés à Marianne.

Les écrivains ne s'allongent que sur des pages blanches
Pas d’inquiétude, Frédéric Beigbeder est bien, comme chaque année, « en espadrilles à Guéthary ». D’autres, à longueur de magazine, racontent leur passion pour la Grèce, les étés bleus, la douceur de vivre et les soleils de Toscane. Belles photos, belles églises, belles lectures. Des fruits, du vin, d’interminables siestes à l’ombre, tout ce bonheur paisible et cultivé de l’écrivain installé, se reposant d’une année difficile et glorieuse, encore une, avant d’attaquer à nouveau, dans un bureau avec vue sur la Seine.

Il en est d’autres, plus nombreux, professeurs et journalistes souvent, avocats, ingénieurs, cadres en entreprise, pour qui l’année se passe à courir après un RER, à saute…

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