En vendant le Royal Mail, le gouvernement Cameron poursuit son œuvre de démantèlement des services publics.
Et, malgré les protestations éreintées de quelques syndicalistes anglais, ses 150 000 employés sont résignés à son « inévitable privatisation » selon les mots de Vincent Cable, ministre du Commerce britannique.
Le Royal Mail, estimé à 3 milliards de livres (3,6 milliards d’euros) et dont l’entrée en Bourse est prévue pour l’automne, n’a pas bonne réputation. Il souffre de sous-investissement public depuis plus de trente ans, et fait partie des services publics dont l…
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