L'autre guerre d'Irak

Dans la nuit du dimanche 21 au lundi 22 juillet, deux prisons irakiennes ont été attaquées afin d’en délivrer les détenus. Une spirale de violence sans fin.

L'autre guerre d'Irak
Les attaques orchestrées contre les prisons de Taji, au nord de Bagdad, et d’Abou Graïb, à l’ouest de la capitale irakienne par des hommes armés qui tentaient de libérer des détenus dans la nuit du 21 au 22 juillet ont été confirmées par des sources policières et médicales. Les affrontements ont fait 41 morts parmi les forces de sécurité, et plus de 30 blessés.

La situation a commencé à se corser vers 21h30. Alors qu’il faisait nuit, des tirs de mortier puis des explosions ont résonné près des entrées des prisons. Selon un colonel de Police, trois kamikazes se sont jetés sur les portes de la prison de Taji. Arrivés sur les lieux, des hélicoptères et autres renforts de l’armée sont parvenues à repousser le…

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