Clubs d’humour, one-man shows en pagaille, politiques pro de la vanne et entreprises où l’on se bidonne : l’époque est sombre, mais on se marre. En cette période de crise de civilisation, on ne rit plus pour résister, mais bien souvent pour oublier.
Pour quelques euros de moins, ils peuvent acheter un ticket de cinéma pour voir le dernier feel good movie, ces films dont on ne retient rien mais dont le mérite est justement de « vider la tête ». Pour encore moins cher, ils peuvent aussi s’en payer une tranche dans l’un des 300 clubs de rire que compte la France.
Rien d…
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