A l’heure où les manifestations font rage, le berceau du printemps arabe connaît l’éveil de nouveaux indignés ; ces « faters » du ramadan qui depuis le début de la fête religieuse, la semaine dernière, revendiquent leur droit de ne pas jeûner, via Google, Twitter et Facebook.
Le 10 juillet dernier, date du début du ramadan, un groupe de jeunes tunisiens s’est emparé de la toile pour revendiquer leur droit à ne pas jeûner, dans un pays ou Etat et religion sont étroitement liés. À l’origine de cette vague de résistance, les menaces d’Adel Almi, président de l’association « centriste » pour la sensibilisation et la réforme, proche du parti islamiste Ennahda, qui a fait savoir qu’il souhaitait que les « fattaras » (les non-jeûneurs) soient pris en « flagrant délit ».
Dès lors, un groupe Facebook a été crée, regroupant les [photos de…
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