A l’occasion de la sortie du film « Super Trash », Marianne publie une enquête parue dans ses pages en mars 2011 sur les géants privés de la collecte des déchets qui, goinfrés d’argent public, se partagent en toute opacité un business qui ne sent pas la rose mais vaut bel et bien de l’or.
Tourner les talons ou tourner de l’oeil ? Convenons que les ordures, observées d’un point de vue industriel, ne suscitent guère plus d’enthousiasme, chez une personne normalement constituée, que le secret des pompes funèbres ou les remèdes contre l’incontinence chez les personnes âgées. Il est pourtant utile de dépasser une aversion naturelle pour plonger dans les poubelles. Car, à l’abri du dégoût et de la mauvaise conscience, prospère une florissante économie qui tente de se repeindre en ver…
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