Journaliste et poète saoudien, Hamza Kashgari est embastillé depuis février 2012 pour trois tweets considérés comme blasphématoires par les autorités du royaume. Marianne a rappelé son sort dans le dossier consacré à l’Arabie Saoudite (n°845).
Face à ces réactions, Hamza Kashgari revient sur ses propos et publie des excuses, reprises dans plusieurs journaux saoudiens. Il ferme également son compte Twitter. En vain : la colère de ceux qui veulent sa mort ne faiblit pas. Le jeune homme, espérant obtenir l’asile politiqu…
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