Venue à Paris pour courir les défilés, la starlette Kim Kardashian s’est fait dévaliser au cours d’une opération rondement menée. Récit d’un larcin people.
Le 28 septembre, Kim Kardashian, la vedette de télé-réalité américaine, publie une photo sur le réseau Instagram où elle apparaît topless, ses collants résille relevés au-dessus du nombril, avec cette légende prometteuse : «Parisian vibes»… Un million de likes plus tard, cette ambiance parisienne légère s’est transformée en un véritable climat de violence. Agressée dans l’appartement de luxe où elle résidait, rue Tronchet, à deux pas du ministère de l’Intérieur, la starlette est repartie précipitamment et sans ses bijoux de famille : une bague de fiançailles avec un diamant évaluée à 3,5 millions d’euros, et un coffret de multiples parures dont la valeur totale avoisinerait les 4,5 millions d’euros.
Les faits, survenus en pleine nuit, vers 2h30, rappellent une scène de polar des années 70. L’équipe de malfrats qui a pris pour cible cette femme classée par Time Magazine parmi les 100 personnes les plus influentes dans le monde avait bien préparé son coup. Certes, une partie des informations était disponible sur ces réseaux sociaux où Kim Kardashian s’expose à longueur de journée, et nul ne pouvait ignorer qu’elle était à Paris pour la Fashion Week, avec des bijoux qu’elle n’avait pas manqué d’exhiber (rappelons au passage que les recettes annuelles de Kim Kardashian sont estimées à plus de 50 millions d’euros).
Mais il restait aux braqueurs à trouver son lieu de résidence dans la capitale. A l’évidence, une simple filature a pu suffire, pour remonter jusqu’à l’hôtel particulier du VIIIe arrondissement où ont déjà défilé nombre de stars, à commencer par le footballeur Zlatan Ibrahimovic, et que connaissent parfaitement gardes du corps et paparazzi. Quelques repérages ont sans doute permis aux braqueurs de régler les derniers détails, aidés en cela par d’éventuels complices.
Bien préparée et surtout bien culottée, l’équipe fait montre à l’endroit du forfait d’une détermination et d’une audace semblant attester qu’ils sont issus de l’école du crime et qu’il s’agit d’élèves confirmés… Confirmés et relativement posés, car la plupart des demi-sel qui se lancent dans des vols de ce type finissent par défigurer, voire par tuer ceux à qui ils s’en prennent, faute de savoir se maîtriser. Or, aucune blessure ne sera infligée cette nuit-là à leur victime.
(…)
>>> Retrouvez l’intégralité de cet article dans le numéro de Marianne en kiosques
Il est également disponible au format numérique en vous abonnant ou au numéro via et
Powered by WPeMatico
This Post Has 0 Comments