Piaf chantait l’amour avec passion et ce sont ses amours qu’on nous vend aujourd’hui. Même les morts ne sont pas à l’abri de la peopolisation.
Le boxeur Marcel Cerdan, bien sûr, au sujet duquel Robert Belleret laisse entendre dans sa biographie, Un mythe français, qu’elle commençait à comprendre qu’elle serait toujours sa maîtresse et jamais sa femme.
Et le dernier, Théo Sarapo, jeune bellâtre grec qui l’épouse lors d’une mascarade de mariage. La Môme n’était plus qu’une ombre, accro aux hommes puis à la morphine… Piaf version trash.
Mais l’interprète, l’auteur, intéresse moins. Ses chansons ont vieilli. Signe du temps qui passe…
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