A quatre mois des élections, la déjà très prudente Angela Merkel est passée en mode «campagne électorale». Ce qui implique une prise de risque encore moindre que d’habitude.
Face à une opposition sociale-démocrate qui a du mal à se fédérer, la très populaire chancelière allemande n’a même pas besoin d’un programme que, de toute façon, elle ne respecte pas : après avoir défendu le maintien du service militaire, Mme Merkel l’a fait supprimer contre l’avis de ses troupes. Même chose pour le nucléaire, qu’elle a déclaré tabou sans crier gare. Quant à son programme de promotion de la femm…
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