Ne rien dire semble aujourd’hui impossible pour les médias tout-infaux, pour les résosociaux, machines infernales à délires prétentieux.
Il suffit qu’un drame ou un épisode tragique s’y prête pour que leur première pensée, leur première hypothèse (leur premier espoir ?) soit l’avènement de notre Breivik français. Dans l’affaire Merah tout comme dans celle de Dekhar, alors que l’on se savait encore rien de rien, des bavards imprudents se sont précipités avec fièvre, tel Philippulus, pour nous annoncer le retour de…
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