Le sport n’a beau être que du sport, on lui prête désormais les vertus d’une sorte de météo des passions et des angoisses nationales.
Avant : l’horreur, le neuvième cercle de l’Enfer de Dante mais en pire, et sans grand espoir de purgatoire, l’hiver des ambitions nationales, la bannière tricolore souillée dans les crachats compulsifs d’un Ribéry (les joueurs des autres nations, c’est bien connu, ne crachent jamais).
Avant, c’était donc il y a un siècle, un temps de désolation, de mornes journée…
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