Il arrive que les institutions – en l’occurrence, la Bibliothèque nationale de France – commettent les pires attentats contre les gens de lettres. Comment ? C’est tout simple : les toilettes du site François-Mitterrand sont pires qu’une porcherie.
En cause : la courageuse Hercule chargée de nettoyer ces écuries d’Augias doit parcourir seule, dans un après-midi, les locaux des quatre tours. Seule contre mille ! Précisément 1 178 lecteurs en rez-de-jardin !
Comment une bibliothèque aux ambitions internationales peut-elle se permettre d’être plus sale qu’une aire d’autoroute un 15 août ? Et n’allez pas rêver qu…
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