Selon le New-York Times, les djihadistes syriens sont largement financés par des donateurs privés, souvent koweitiens ou saoudiens. Des financements qui favorisent les mouvements rebelles les plus radicaux. L’Arabie Saoudite tente de réagir par la formation de forces rebelles, avec l’aide d’instructeurs pakistanais. Des alliés bien intentionnés qui n’en restent pas moins suspects.
On savait que le Qatar apportait son obole, que quelques associations islamistes contribuaient aussi, le New-York Times révèlait ce matin que des donateurs privés participent largement au financement des groupes les plus radicaux de la rébellion syrienne.
« L’argent circule par virement bancaire ou est livré dans des sacs bourrés de cash …
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