La finance – qui, aujourd’hui, détient toutes les clés de notre prospérité – s’oppose à l’usage des déficits publics pour stabiliser et relancer nos économies, car elle est consciente que le retour de l’État signerait son arrêt de mort.
Laissons-nous aller quelques instants à la théorie du complot qui nous indiquerait que le monde de la finance et des dirigeants d’entreprises sont contre le plein emploi. L’intervention de l’État est pourtant capable de résorber efficacement le chômage parmi nos populations. À travers des investissements publics, comme la construction ou la réfection d’écoles, d’hôpitaux ou de routes. À travers des prestations sociales, des subventions accordées aux produits de première nécessité, voire une diminution de la taxation directe de certains foyers fiscaux et des PME. À travers une réduction de la T.V.A. Autant de mesures qui, conjuguées selon un calendrier judicieux et ciblé et selon un dosag…
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